. Inévitablement toi.

je poste mon premier texte,
il rejoint un peu celui de Marie.
J'ai peur.
et me sens ridicul.
ne me jugez pas trop sévèrment.
Je suis loin de vous, laisser moi le temps
de vous rattraper.

.

On se hait, on s’aime on s’éloigne, on revient, on se quitte, et la vie reprend toujours son court.Si tu savais, si tu savais à quel point tu m’es indispensable. Mon indispensable dose de douleur, d’espoir, de peur, d’amour.Jamais je n’ai osé coucher mes sentiments sur papier. Les mots me font toujours plus mal que lorsque je les laisse bien caché au fin fond de mes pensées. Pourtant, j’aimerais tellement pouvoir t’expliquer toute ces contradictions. Tu me seras toujours et à jamais inaccessible,Comme si mon existence n’était faite que pour te survivre. Tu penses que t’éloigner de moi facilitera les choses,Mais la seule chose que tu vois en revenant.Ce n’est que le vide qui tu as créé.Tout est mortellement toi autour de moi.
. Mortel.
La mort, ne veut pas de moi. Pourtant j’ai essayé, j’ai essayé de voir son visage. Je l’ai souvent vu de près tu sais. Mais jamais, elle n’a voulu me garder près d’elle. Je me réveillais tj dans la même chambre blanche et froide. Et je savais que si je tournais ma tête vers la droite je pouvais te voir Sur l’éternel fauteil rouge la tête légèrement pencher sur la gauche Et les yeux fermer, endormis. Tu dormais toujours lorsque je me réveillais, Automatiquement. Comme pour me faire peur et me rappeler que tu étais pour moi une des rares choses qui me serait insupportable de perdre. Un jour tu m’as fais cette peur,Un jour tu as voulu partir toi aussi,Comme pour te venger de tout mes actes stupides.Tu as pris ta boite a pharmacie et tu a tout avalé. Si tu savais comme j’ai eu peur ce jour là quand ta mère m’a téléphoner. Si tu savais comme je t’ai détesté d’avoir voulu quitter ce monde. Seulement, la mort ne veut pas de toi non plus. Et toi quesque tu fais ? Tu essais de me protéger je sais. Me protéger de quoi ? De toi ? Tu es ridicule, et tu le sais très bien que c’est inutile. Mais voilà, depuis un an tu t’éloignes de plus en plus.Implacablement tu t’éloignes et tu te renfermes sur toi-même. Tu t’engouffres dans des amourettes d’ados. J’en suis venu à espérer qu’un jour tu tomberas amoureux d’une d’entre elle. A ce moment là je pourrais me dire. ‘Jade t’es conne tu savais que sa allais arriver. Il ne peut pas t’aimer éternellement, aller c’est finis pleure un bon coup et tourne la page’ Mais seulement voilà, tu ne tombes pas amoureux. Comme si l’amour t’avait déjà vider. Comme si tu avais peur de m’oublier.Mais oublis moi. La seule chose qui compte pour moi c’est toi, toi et tes putains de sentiments pourtant... Mais voilà, tu t’accroches à moi comme je m’accroche à toi. Et à deux on n’arrive pas à s’oublier. Parfois j’en veux au monde entier, je veux tout détruire sur mon passage et finalement je finis par me détruire moi-même. Seulement voilà, pour l’instant, je dois continuer à vivre. Vivre, pour qui ? Pour quoi ? Pour eux, pour elle*, pour notre nous. Mais par pitié ne pas t'oublier. Si,t'oublier. Mais pas tout de suite. Laisse moi le temps de profiter de ton amour interdit. Laisse moi le temps de t’aimer comme je le veux.

Je t’aime tu le sais ?
Sûrement…
. J'aime. Et c’est . Inévitablement toi.

Tu n'as vraiment pas à avoir peur.
J'ai adoré.
C'est tellement.
Sorti d'un coeur qui soupir.
Le mien a battu au rythme de tes mots.
C'était vraiment magnifique.
Bravo !

J'adore le dernier paragraphe.
<3

Vraiment, vraiment pas de quoi avoir peur.
Au contraire.
Ce texte a un truc qui m'a clouée.
=]

Merci beaucoup <3.
Vraiment,
Merci.