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Je ne trouve pas ce texte génial mais j'y tiens quand meme.
Premier texte poster . J'ai la trouille x) .

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Ce vrombissement de moteur qui résonne dans l’infini douleur de mon cœur.

Je sais que c’est toi, mais je ne dis rien. Tu rentres dans la pièce, toujours de la même façon et mon cœur s’en va à des années lumière de là. Tu ne sais même pas le millième des choses que je ressens quand ta joue frôle la mienne et que ta voix résonne dans mon espace temps.
Je me sens comme ailleurs quand je t’observe du coin de l’œil. Quand ton regard croise le mien, mon cœur atteint les summums de rythme cardiaque et quand ta peau frôle la mienne je suis à la limite de l’arrêt cardiaque. Et quand tes lèvres osent toucher les miennes, n’en parlons même pas, je suis à la limites de l’infini.
Ma naïveté me bouffe et mon adoration de l’éphémère me tue.

Tu te doutes sûrement de l’effet que tu me procures et tu joues avec ça.
De toute façon, je ne suis que jouet pour toi et ça t’amuse. Tu joues avec moi comme on joue avec n’importe quel jouet. Tu rigoles bien un moment puis tu te lasses alors tu jettes pour récupérer quelques mois après. La seule chose qui doit te préoccuper c’est « Qui sera la prochaine ? » .
Tu veux jouer ? Bah joue. Je ne veux pas être ton jouet mais je me laisse faire par pure naïveté et par adoration de l’éphémère que tu me donnes.

Tu n’es qu'éphémère et tu aimes ça. Offrir l’éphémère c’est ton truc et moi j’aime en recevoir. Ton éphémère me fait frémir. Mais tu ne sais rien de ce qui peut me faire frissonner ou même me remplir de bonheur.
Bonheur éphémère.

Personne ne sait, et surtout pas toi. Personne ne sait toute la cascade de ressentiment qui coule en moi. Cascade pour toi.
Cette cascade ne coulera jamais autre part qu’en moi, dans l’infini douleur de mon cœur. Personne ne sait et n’aura jamais le courage d’écouter tout ce que je ressens pour toi. Solitude. Je me tais et je ris de toi. C’est tout ce que je sais faire devant les autres, sourire et rire en parlant de toi. Je fais comme si rien ne me touchait, ça passe toujours mieux.




Tu es un connard et je ne vais pas me gêner pour le dire !
Tu n’es qu’un connard et je crois que j’aime ça . . .

Sois beau. Tais-toi.
Et embrasse-moi.



[Tu sais que la légèreté de tes yeux me fait voler et que ton visage fin me fait fondre ?]

Amour.
Ce texte, mais putain
quoi <3.
# ne te mérite pas.
Loin de là.
Je t'admire, et plus.

(L'

C'est pas mal malgré quelques fautes d'ortho.
=)

Moi j'aime, et les fautes d'orhographe sur ce coups je les emmerdes, vu la puissance qu'il y a dans les mots. J'vois bien que t'essaye tant bien que mal de te battre contre la fontaine de sentiments que tu doit mettre en mots pour enfin comprendre ce qu'il se passe avec Lui.
ça explose de vrai ce texte.
Merci.

Aaah, les fautes me gènent moins dans ce texte ! Elles sont moins nombreuses je pense =)
Je vais les corriger, comme ça se sera tout beau. Tu me donnes la permission ?

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Alors, le texte en lui-même...
C'est bien simple : je l'adore !

"Tu n’es qu’un connard et je crois que j’aime ça..."
.. Hu, cette phrase, elle m'explose tant elle me rappelle des choses.

Oui je t'en pris . =)
[ Je me suis inscrite à un site de français , j'espère que ça va m'aider . ]


Merci ce texte me tiens à coeur , surement parce que c'est de lui qu'on parle. =]

On s'en fout des fautes ! xD
J'aime beaucoup. =)

"Bonheur éphémère"
C'est ce que je ressens avec ce texte ,ces mot, ces lettres.
Je n'arrive pas à me dire que c'est déjas la fin .
Quand l'histoire prend vie...

Merci beaucoup <33.

C'est à se taper la tête contre les murs....
Ce qui dans mon langage veut dire que c'est génialement beau

Merci Petite Lune .
Merci. Merci.