Maman s'il te plait pardonne-moi, je devais juste me débarrasser de ma peine et de ma souffrance. Maintenant que j'ai fini, rappelle-toi que je t'aimerai toujours. Je suis ton fils.
Petit enfant si joli. Sors et viens jouer, je serai ton papa. Enfant innocent, si mignon. Je te violerai, je mangerai sur ta chair.
Tu m'as violé, je me sens sale. Ça fait mal. Comme un enfant étouffé. C'est un bon p'tit gars, et baisé. Je hurle. Personne m'entend. Ça fait mal. Je ne suis pas un menteur. Maman pourquoi ? Ton propre fils.
<< C'est pas grave. >>
Maman a dit qu'elle s'en foutait.
<< Je ne t'ai pas touché là. >>
C'est pourquoi maman s'est arrêtée et m'a fixé :
<< Je te hais sale enculé, crève bâtard, j'en ai marre de ces conneries.
- Mais pourquoi ?
- Je te hais, putain je te hais... je te hais. >>