Tellement de mensonges, ils s'accumulent, autour de toi, tu suffoques.
Je me tiens ici. Les mains vides. Suppliant mes poignets qui sont entrain de saigner de stopper la douleur des battements de mon cœur. La chaleur de ton étreinte fait fondre mon esprit mordu par le froid. Mes mains sont grandes ouvertes et tu les remplis entièrement. Les mains en l’air, marre de tourner en rond sur la même route. Marre de porter la faute. Alors ouvre la fenêtre pour rafraîchir et réchauffer l’averse. Tous mes efforts pour m’améliorer me laissent putride et dégoûtant. Et comment peux-tu me regarder quand je ne peux tenir debout moi-même. Je suis fatigué d’être honnête. Je ne suis personne. Parfait dans la faiblesse, je ne peux marcher qu’avec ta force seulement Nuance tourbillonnantes de bleu, dansait lentement dans tes yeux. Le soleil embrasse la terre, et je fais calmer mon envie de pleurer. Je suis malade, infecté par où je vis. Laisse moi vivre sans ceci. Bonheur vide. Egoïsme. Nous pouvons te pousser dehors, vendre dehors, mourir dehors. Ainsi tu la fermeras et tu resteras endormi avec mes cris dans tes oreilles démangeantes. Ecoute ça, je le cris, tu tremble à ce son. Tu t’enfonces dans mes vêtements, et cette invasion me fait sentir indigne, sans espoir, malade. Toutes mes plaintes deviennent rien. J’ai honte de toutes mes choses. Elle est heureuse pour un jour de confort. Juste parce qu’elle a souffert.